Complot

Après le best-seller Le Cri, le nouveau thriller de Nicolas Beuglet !

Un archipel isolé au nord de la Norvège, battu par les vents. Et, au bord de la falaise, le corps nu et martyrisé d’une femme. Les blessures qui déchirent sa chair semblent être autant de symboles mystérieux.

Quand l’inspectrice Sarah Geringën, escortée par les forces spéciales, apprend l’identité de la victime, c’est le choc. Le cadavre est celui de la Première ministre.

Qui en voulait à la chef de gouvernement ? Que cachait-elle sur cette île, dans un sanctuaire en béton enfoui au pied du phare ? Sarah, très vite, le pressent : la scène du crime signe le début d’une terrifiante série meurtrière. Dans son enquête, curieusement, quelqu’un semble toujours la devancer. Comme si cette ombre pouvait lire dans ses pensées…

De la Norvège à la vieille cité de Byblos, et jusqu’au cœur même du Vatican, c’est l’odeur d’un complot implacable qui accompagne chacun de ses pas. Et dans cette lutte à mort, Sarah va devoir faire face à ses peurs les plus profondes. à ses vérités les plus enfouies…

Étayé par les dernières découvertes de la science et de l’histoire, Complot explore les secrets premiers de l’humanité. 

Un thriller époustouflant. Et une révélation bouleversante sur ce que fut, il y a fort longtemps, le pouvoir des femmes.

Parution :16 mai 2018
Nombre de pages :496
Format :153 x 240 mm
Prix :19,90 euros
ISBN :9782845639812

Interview de l'auteur

  Votre nouveau thriller Complot s’ouvre sur une scène très forte : on découvre, au large de la Norvège, sur un îlot rocheux, hanté par les oiseaux, le corps sans vie d’une femme. Elle a été assassinée dans des circonstances à la fois terribles et intrigantes. Mais surtout, cette femme n’est pas n’importe qui. Racontez-nous…

L’histoire s’ouvre en effet sur le dernier archipel de Norvège avant le cercle arctique. Sur cette île perdue, n’existe qu’une seule maison et un phare. C’est là qu’est découvert le corps nu et torturé d’une femme que personne ne s’attendait à retrouver ici dans de telles circonstances : celui de la Première ministre norvégienne. Et trois  éléments particulièrement intrigants viennent s’ajouter à cette étrange scène : la victime tient serré dans sa main une pierre blanche, elle porte un mystérieux tatouage entre les orteils et semble tendre le bras en direction du précipice de la falaise, comme une ultime indication…

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